Nous
sommes alors en 1897, l'artillerie de la XIVème
division militaire y tient garnison depuis son achèvement
de fin 1879 - soit dix-huit années - à l'abri
des tirs adverses une galerie assure le passage entre le
fort et les emplacements de batteries côté
Est, les batteries détachées du Neyron,
du Quichat sont opérationnelles
Si comme
en toute chose il y a acteurs et quelques
en soient les raisons réelles et sérieuses,
détracteurs, c'est ainsi quant à
ces derniers que l'on trouve manifeste suivant :
C'est
probablement pour ce faire et y répondre, que joint
au procès-verbal d'une conférence du 23 octobre
1897, le "Génie" et l'artillerie
projettent, sises en externe, au Nord-ouest du fort du Saint
Eynard, au-delà de la porte de secours, comme devant
battre de leurs feux le pont de Vence, le clocher de
Quaix, le sommet du Quichat, le tunnel de la batterie du
Neyron
, deux plate-formes d'artillerie, avec niches
à projectiles et magasin de consommation journalière
pour les gargousses.
Croquis
d'ensemble de la situation de cette batterie projetée.
Planches
d'ensemble de cette même batterie.
Projet
manifestement sans suite.
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