Plus à l'est, accessible depuis le Col de Vence par un chemin qui se dirige vers le sud-ouest, qui peu avant la bergerie tourne nord-est, suit le flanc est du Rachais, se termine par un embranchement dont la voie de droite aboutit - à une altitude de 1000 m. - aux emplacements des batteries.


L'artillerie de la batterie la veille de la "Première guerre mondiale".


Plan des ouvrages et des maçonneries.

Au nombre de trois paires, agencées selon les "levées" en "batteries à ressauts" et pour le "tir à barbettes", les plates-formes sont séparées par des traverses pleines en la base desquelles sont aménagées des niches à munitions, chaque paire dispose également d'un proche petit magasin.

Hormis les batteries dirigeant leurs feux vers les routes venant de Sarcenas et de Quaix, l'ensemble de la batterie est en tout point identique à celle du Casque du Néron, même conception identique du bâtiment et surtout même capacité de la garnison - 52 hommes, 3 sous-officiers et un officier - même organisation pour le tunnel et ses magasins-cavernes, même citerne de 40m3…

Derrière le bâtiment, au fronton d'un petit magasin sous roc, l'on discerne l'inscription 1893.

Jean Azeau & S. Pivot.

 

 

 
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